Préambule

Journal de bord d’une exploratrice spirituelle

PREAMBULE

 

10 Mars 2023 Frangokastello Crète Sud

Je vais prendre le temps de planter tranquillement le décor pour que tu comprennes ma démarche, il faut que je t’explique qui je suis, en quoi je crois, par quoi je suis passée et comment je fonctionne.

 

Je démarre aujourd’hui une entreprise très particulière. Celle d’aller à la rencontre de nouvelles parties de moi, jusque-là, rien de bien nouveau.

La démarche d’une vie…

Et pourtant… J’en ai déjà rencontrées de nombreuses. J’ai commencé à consulter en 2000, à cette époque-là, il n’existe pas grands choses pour accompagner les personnes souffrant de traumatismes, et j’ai donc vraiment commencé à « travailler sur moi » en 2007, avec tout d’abord de la psychothérapie comportementale, puis psychothérapie classique, kinésiologie et psychosomatique clinique et humaniste. J’ai changé de praticiens, à chaque fois que je changeais de lieu de vie notamment.

 

J’ai cherché à me faire accompagner car j’ai vécu plusieurs situations d’abus : sexuels, de pouvoir, de violences sous diverses formes. Au départ, je me faisais accompagnée pour aller mieux, j’ai eu des périodes où je ne pouvais pas sortir de chez moi, où le stress post traumatique était trop important, j’ai même pris du rivotril (médicament pour les personnes épileptiques) pendant un temps  pour pouvoir dormir.

 

Et puis je me suis rendue compte que j’aimais la démarche de psycho analyse, j’aimais aller creuser, investiguer, dépasser l’obstacle, ouvrir, libérer.

Alors j’ai continué aussi de mon côté.

 

Burn-out : et enfin choisir de vivre

En 2016, suite à une situation de travail abusive, je suis à ce moment-là, directrice de centre de formation pour les demandeurs d’emploi, je fais un burn-out, le barrage cède. Jusqu’à présent, j’avais été la bonne élève, je m’étais conformée à ce que l’on attendait de moi, on me demandait de faire du chiffre, j’explosais la marge… J’obéissais, en attente de reconnaissance.

Lorsque je me suis sentie trahie par mes patrons, quelque chose à craqué en moi. Je me suis mise à pleurer sans pouvoir m’arrêter. Les médecins rencontrés alors, ont été pitoyables, l’un ne connaissant rien au milieu de l’entreprise et me donnant des conseils bidons, l’autre me  mettant au régime drastique…

 

Cependant, quelque chose en moi, me demandait de ralentir et de me mettre à l’écoute. J’ai suivi cet élan. J’étais en arrêt de travail, et je me suis reposée, je suis allée me balader et c’est tout. Je me suis mise à l’écoute de mes besoins pour la première fois de ma vie.

 

Au bout de 15 jours, je voyais déjà ma situation professionnelle avec plus de recul. Je me rendais compte de tout ce que j’avais sacrifié dans ce travail pour mendier une once de reconnaissance, le constat est rude, on m’a usé, on m’a pressé pour que je donne le meilleur de moi, mais que ce soit moi ou quelqu’un d’autre la finalité est la même, mes patrons sont là pour faire du fric.

 

Au bout de 2 mois, j’ai demandé une rupture conventionnelle. Une des chances que j’ai eu, c’est que lors de ces deux mois, j’ai pris beaucoup de recul, pour ne pas me laisser envahir par mes émotions le jour venu. Le jour de la signature, j’ai pu vider mon sac factuellement, j’ai été écouté et cela m’a permis de faire le deuil.

 

C’est 2 jours plus tard que la vie a pris un autre tournant pour moi. J’ai rencontré une médium, lors de cette séance collective, la première chose qui a changé ma vision de la vie, c’est que je me suis mise à croire qu’il y avait autre chose après notre vie terrestre.

 

A cette époque-là, j'ai une obsession c'est de devenir maman, j’ai 39 ans, pas d’homme dans ma vie… L’avenir paraît terne et fade, c’est comme si tout était déjà tracé, je suis persuadée que je peux me réaliser uniquement dans la maternité.

 

Or, un déclic se fait et je commence à croire en quelque chose de plus grand que moi, et que la vie ne se résume pas à notre vie terrestre incarnée, et mon horizon s’ouvre de façon magistrale. J’ai lâché mon obsession de désir d’enfant, en acceptant, j’ai déjà été maman dans une autre vie, peut-être que je le serai dans des vies futures… et peut-être que dans cette incarnation-ci ce n’est pas mon chemin.

 

Ce changement de croyance m’a redonné goût à la vie et m’a apporté beaucoup d’espoir. Je ressens aussi à ce moment-là, que ce que je fais dans cette incarnation œuvre aussi pour les autres vies. Rien n’est perdu, tout est capitalisé, alors ça vaut le coup d’avancer, de se dépasser, d’oser.

 

A la découverte de mes potentiels

Je rencontre à ce moment là une numérologue qui me guide vers le massage, je n’ai rien à perdre, j’ai même déjà une table de massage, allez c’est parti, je commence par une formation de quelques jours et je démarre, en proposant à mes amis de venir tester.

C’est à ce moment-là que je découvre que « j’écoute » autrement, le corps, l’esprit, les émotions. J’ai accès à des informations.

S’en suivent donc plusieurs années « d’expérimentations », en massage, puis en soins énergétiques, puis en ateliers, en stages, en séjours, individuellement et collectivement.  

 

Je découvre, je grandis, j’explore. Au cours de ces années, je ne cesse de travailler sur moi. Dès que je ressens un blocage, je prends le temps de l’écouter, je descends en moi, j’interroge, j’ expérimente des outils, des techniques, avant tout sur moi. Chaque jour, je médite, je suis convaincue que plus je fais le ménage en moi, plus je peux aider l’autre, même si la démarche est infinie.

Je n’ai plus peur d’aller voir mes ombres, je prévois du temps pour ça. Je m’organise des rituels, je n’ai plus peur de ce que je ressens, et je découvre petit à petit le monde des Esprits.

 

En parallèle, mon rythme de vie s’est ralenti, il n’a plus rien à voir avec un rythme de salarié classique. J’ai besoin de temps pour écouter, pour méditer, pour prendre soin de moi. Au départ, ce changement de rythme est particulièrement culpabilisant, nous n’avons jamais été habitué à ça.

Puis je fais confiance et je lâche. Je pense que l’élément magique chez moi est la foi. La foi en la vie, en quelque chose de plus grand, en quelque chose qui nous guide, nous balise le chemin, nous invite à nous dépasser.

 

Le rêve devient réalité

Puis le COVID est arrivé, j’ai commencé à proposer des ateliers et des soins en ligne. J’ai un rêve, celui d’être libre de voyager où je veux, quand je veux…

Et en Mai 2022, je m’aperçois que mon chiffre d’affaire est majoritairement issu de mes activités en ligne, alors c’est décidé je pars pour une vie nomade.

 

Je pars fin septembre et je commence par les îles des Açores, je ne suis pas en vacances, déjà parce que pour pouvoir vivre à l’étranger ou non, j’ai besoin d’argent, pour payer les transports, l’hébergement, l’alimentation… Et ensuite car je suis toujours en quête incessante. Je travaille tout le temps, pas au sens où tout le monde l’entend, mais qui est tout le monde ?  Je ne cesse de chercher des indices, d’être à l’écoute de mes ressentis, de regarder en face le plus honnêtement possible le moindre de mes travers, de m’observer, de descendre à la rencontre de mes ombres, mêmes celles qui font peur, et qu’on aimerait éviter…

 

J’ai compris que pour accompagner les autres, et servir de canal, j’ai besoin de me connaître, et de nettoyer le plus possible ce qui encombre mon canal, de repérer mes émotions pour pouvoir plus facilement les décaler au moment d’une séance, plutôt que de me faire surprendre par elles en plein soin.

L’intuition me guide et ensuite c’est à moi d’en faire quelque chose, de transformer l’essai.

 

C’est parti pour l’Odyssée

 

Premier lieu de ma vie nomade : Les Açores, je ne comprends pas pourquoi je suis là, je ressens l’énergie brute des éléments, quelque chose de sauvage, d’archaïque, de non contrôlable. Cela m’effraie un peu.

 

 

Puis j’arrive au Portugal et là cela devient très compliqué. C’est comme si tous mes repères s’effondrent. Avant de partir j’ai fait beaucoup de tri, matériel déjà, je me suis séparée de tous mes objets personnels, j’ai gardé mon appartement que j’ai mis en location pour un an, mais même mes jeux d’oracles et mes tambours ont fait parti du tri. Dans mes relations aussi, j’ai pacifié ce qui avait besoin de l’être pour pouvoir partir libre.

 

 

Mais là au Portugal, je constate l’ampleur de ce que je viens de faire, je me sens perdue dans l’univers, sans rien à quoi me raccrocher. Je n’arrive plus à contacter ma guidance, j’ai des douleurs qui apparaissent dans tout le côté gauche (épaule et jambe). J’ai beau me mettre à l’écoute, je n’entends rien, je traverse tant bien que mal ce tourbillon.

 

Je rentre en France pour les fêtes de fin d’année, et mon ordinateur étant en panne, je dois patienter avant de repartir. Je prends soin de moi, de mon corps, mais les douleurs persistent…

 

 

Le Cercle d’Anciens

Pendant cette période, je pars une semaine près de Pornichet, en Loire Atlantique. Là ma guidance est au taquet, je reçois en 3 jours plus de guidances et d’éclairage que dans toute ma vie avant, ou presque (j’aime bien exagérer…).

 

Je me connecte à partir de ce moment-là à un Cercle d’hommes et de femmes médecine. Pour être précise, je suis connectée à eux depuis un moment, mais cette fois-ci, ils se présentent officiellement et m’expliquent qui ils sont et pourquoi ils sont là. Ils sont de toutes origines et de toutes traditions, ils me prêtent leurs voix, leurs chants, et leurs enseignements.

 

Ils vivent dans l’intra-terre et me donne rendez-vous dans une kiva, photo ci-dessus, un abri en terre, sous la terre.

 

J’ai un rapport à la terre très particulier, lors d’une transe, pendant un stage chamanique, je suis aller à la rencontre de l’énergie de la Terre. Elle m’a indiqué que pour entrer en connexion avec elle, il fallait ralentir son rythme et entrer dans « un autre état d’être ».

 

Ces hommes et femmes Médecines me montrent aussi un symbole, celui de la spirale, et une zone de mon corps, l’arrière de mon oreille droite, en me disant qu’ils me demandent de me tatouer ce symbole.

2ème départ : La Grèce

J’ai repris mon voyage par la Grèce fin janvier et notamment La Crète. La première ville que j’ai visité est Chania, et je m’aperçois là-bas que le symbole de la spirale est très prégnant, notamment dans les bijouteries. Je mène donc mon enquête auprès de la bijoutière, je lui demande ce que symbolise cette spirale. Elle me dit que c’est un symbole minoen, (entre 7000 et 2000 av. J-C) et qu’il représente la vie et sa continuité…

 

Voici ce que j’ai pu trouver comme explication :

« Le mouvement en spirale, le "tourbillon", "η δίνη" (dini), comme les Grecs l'appelaient,

n'est rien d'autre que la façon dont la vie est créée. La spirale apparaît partout dans la nature. Des anciens coquillages à la formation des galaxies.

Nous vivons dans une galaxie spirale tridimensionnelle, en hélice. Les tornades, les coquilles des mollusques, nos empreintes digitales,

même nos molécules d'ADN ont une forme en spirale.

La forme en spirale représente à bien des égards les puissances solaires et lunaires, tandis que le vent, l'eau, le tonnerre, l'éclairage sont aussi des formes du grand tourbillon créatif. »

 

Quelques jours plus tard, après avoir pris mon petit-déjeuner avec une abeille (cela aura son importance plus tard), je vais visiter le palais de Knossos, c’est un palais minoén, le lieu est magnifique et on sent encore la splendeur du site.

 

A l’arrêt de bus qui me ramène vers Heraklion, une femme devant moi, a un tatouage juste derrière l’oreille droite, il s’agit d’une licorne. Je lui demande si elle a eu mal lors du tatouage car c’est quand même une de mes préoccupations, j’ai déjà d’autres tatouages, mais la zone derrière l’oreille me parait singulière et délicate. Elle me dit qu’elle n’a pas eu mal du tout.

 

Ni une, ni deux, je commence à recherche un salon de tatouage à Heraklion, et le premier a apparaitre dans ma recherche s’appelle, Bee Inked, soit littéralement Abeille Encrée, ou phonétiquement, « être ancré », tu as peut-être déjà écouté une de mes méditations d’ancrage. Évidemment, le lien avec l’abeille et avec l’ancrage, finissent de me décider d’aller y jeter un coup d’œil pour prendre rendez-vous. Je suis accueillie par Harvys, qui prend le temps d’écouter mon histoire (je l’ai fait plus courte que celle-ci) rassure toi, et qui me dit qu’il est aussi très branché spiritualité. Il comprend ma démarche et est disponible tout de suite, et c’est ainsi que je me retrouve avec mon 3ème tatouage.

 

Mon Paradis désert

Mardi dernier (7 mars), je suis en transfert, je change de lieu, je logeais jusqu’alors près de la capitale de La Crète Héraklion, et j’ai envie d’explorer la côte Sud beaucoup moins touristique et bétonnée.

 

La traversée en bus est déjà un enchantement, circuler entre ces montagnes avec les oliviers à perte de vue, les chèvres sur la route, le ciel qui se fait noir, être « ennapée » dans les nuages, puis découvrir, la fin du tunnel avec une arrivée sur la Côte Sud, sous un ciel bleu magnifique et découvrir la Mer de Lybie étincelante depuis les routes en lacets, c’est juste ouah, à faire si tu viens en Crète.

 

Je suis accueillie dans ma nouvelle maison par Chrisoula, elle porte des boucles d’oreilles en forme de spirale, je lui parle de mon tatouage, elle me montre son logo sur sa carte de visite : une spirale, bien sûr. Pas de doutes, je suis arrivée au bon endroit. Elle me dit aussi qu’elle a fait des recherches et que mon prénom Agnès, vient du grec ancien « Agni » qui veut dire « pure », « chaste », et « sacrée ».

 

Après avoir posé mes affaires, je découvre les lieux : c’est magnifique, j’ai accès à « ma » plage, il n’y a que moi ici, c’est une plage de sable fin, la mer est turquoise, il fait un temps sublime, quand je me baigne j’ai vu sur les montagnes. Je suis au Paradis. Seulement c’est un paradis perdu, il n’y a personne ici et aucune distraction, le seul bus quotidien est à 6h30 du matin.

Ok, si j’ai atterri ici c’est que j’ai quelque chose à y faire, j’ai réservé pour un mois. Alors je me mets à l’écoute… de mes guides et surtout de mon corps, il est tellement douloureux, toujours ce côté gauche.

 

Premier temps de méditation, en contact avec mon corps, « ce n’est pas suffisant, tu dois descendre encore ». Premier contact avec « mon corps primal », ne me demande pas ce que c’est je le découvre quasiment en même temps que toi.

 

Il semblerait que lors d’évènements traumatiques (un évènement a pu être traumatique pour nous enfant, même si adulte, on ne le considère pas comme tel) , il y ait quelque chose dans notre corps et notre esprit qui disjoncte. Et c’est comme-ci on s’évertuait toute notre vie, à remettre en route notre disjoncteur dans notre appartement, seulement, le disjoncteur qui a sauté, c’est celui de l’immeuble, et le compteur de l’immeuble et bien personne ne sait vraiment où il se trouve, c’est quelque chose de bien plus enfoui et bien plus profond, et c’est lui, semble t’il que je dois aller visiter.

 

Il serait à l’origine de blocages anciens et impossibles à dépasser en restant à la surface. Il conditionnerait certaines de nos réactions face aux situations, mais surtout des modes de pensée. Nous resterions donc dans une sorte d’état de « survie », plus ou moins limité. C’est comme si certaines connexions dans le cerveau ne pouvaient plus se faire, et que par conséquent, certaines de nos facultés ne seraient jamais exploitées.

 

Forcément ces recherches vont m’amener à me livrer plus sur ma vie.

 

J’ai vraiment conscience que j’ai su à force de travail, de compréhension, d’écoute et de patience, sortir d’une certaine matrice, pour être libre. Je suis actuellement en train de réaliser un de mes plus grands rêves et cela montre bien, qu’en m’en donnant les moyens, j’ai réussi à atteindre un de mes buts.

 

Cependant, il y a d’autres buts que je souhaite atteindre et qui me semblent encore inatteignables. Et avec l’éclairage de ce matin, c’est comme si on me disait, en effet, certaines des limites que tu rencontres sont des conséquences de ce que tu as vécu. Je travaille dessus en thérapies pourtant depuis des années, je suis quelqu’un de volontaire et de déterminée, et pourtant, il y a certains domaines sur lesquels je n’ai pas le sentiment d’avancer.

 

Et c’est là que mon supraconscient, la voie qui me parle à l’intérieur, me dit "descends encore"… , va rencontrer ce Corps primal, pour comprendre comment il est fait, et comment il fonctionne.

 

Lorsque j’ai recherché sur google si il existait quelque chose sur le corps primal, j’ai trouvé qu’un psychologue américain à développer la notion de « thérapie primale », pour lui il s’agit de ce qui se joue entre le moment où on est fœtus en vie intra-utérine et nos 3 ans.

 

Je ne suis pas aussi catégorique vis à vis de ce que je ressens, car je pense qu’il y a vraiment des ponts avec le transgénérationnel, l’inconscient collectif, les multidimensions (incarnations passées). Il s’agit plutôt d’une sorte de corps archaïque qui nous relie tous, et qui fonctionne sur un mode différent, par symboliques, couleurs, lieux peut-être aussi…

 

C’est donc ce que je vais faire ce mois-ci, partir en expédition à la rencontre de « mon corps primal », et voir ce qu’il en ressort, avec tous mes outils et le soutien de mon Cercle, cela va être comme une sorte de « thérapie chamanique », je m’appuie ici sur la définition qui suit de Chaman : « c’est celui qui communique avec des réalités non ordinaires, par l’intermédiaire d’états de conscience différents, pour aller rechercher des informations ou permettre la guérison. »

 

Pour conclure, si je te dis qu'avec l'aventure Arcana Major, chaque quinzaine nous nous connectons à un arcane majeur du tarot, sauras-tu deviner, quel est celui de cette quinzaine ?  Et oui bravo, il s'agit de l'Hermite !!!

 

Je sens que j’ai besoin d’écrire ce que je vis, mais j’avoue que je n’ai pas la discipline d’écrire chaque jour, sauf si je sais que je suis lue et que ce que j’écris peut éclairer d’autres personnes, alors voilà le pourquoi de ma démarche. Je pense poster régulièrement tous les 2 ou 3 jours…

 

Alors à suivre… Si tu as envie de commenter surtout sens toi libre de le faire, plus il y a d'interactions, plus c'est intéressant.